2C_4/2011

2011-2012

Le recourant a été condamné pour actes et contrainte sexuels sur sa fille mineure, ainsi que pour diffamation et discrimination raciale à une peine privative de liberté de 20 mois. Bien que ses derniers agissements remontent à 1998 et qu’aucun manquement n’ait été répertorié depuis, le comportement de l’intéressé et ses conditions de vie laissent présager un risque de récidive. Il représente donc une menace actuelle pour l’ordre et la sécurité publics ; son autorisation d’établissement peut, conformément au principe de proportionnalité, être révoquée.