Recours contre la sentence rendue le 21 août 2023 par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Le recourant faisait valoir devant le TF que la sentence attaquée violait son droit d’être entendu, invoquant à cet égard que la Formation arbitrale n’a pas tenu compte du fait que l’empêchement de son représentant légal de déposer l’appel dans le délai imparti était imprévisible. En l’espèce, le recourant tente, sous le couvert d’une prétendue violation de son droit d’être entendu, d’obtenir un examen matériel de la sentence. Par ailleurs, il est rappelé que le droit d’être entendu ne contient pas un droit à une décision juste d’un point de vue matériel. En tout état de cause, la solution adoptée par le TAS se prononce bien sur les arguments du recourant en les écartant explicitement, ce qui exclut toute violation du droit d’être entendu (consid. 3.2). Recours rejeté.